Les entreprises qui utilisent des outils d’intéressement « classiques » prévus par le Code de commerce bénéficient d’avantages fiscaux et sociaux clairement définis pour elles et leurs salariés.
À l’inverse, les start-up du Web3 qui mettent leurs jetons au cœur de leur politique d’intéressement en sont exclues.
Ce constat impose une adaptation rapide des textes de loi, en coordination avec les acteurs de l’écosystème.