QOMIT voit le jour. Fondé par Stéphanie Némarq-Attias, le cabinet se démarque par sa double spécialisation en droit fiscal et en innovation. Son ambition ? Accompagner ses clients sur l’ensemble des problématiques fiscales qu’ils rencontrent dans leurs projets innovants.
Nouvelle aventure pour Stéphanie Némarq-Attias. En cette période de rentrée, l’avocate a choisi de voler de ses propres ailes en fondant sa boutique, QOMIT, destinée à l’accompagnement fiscal de projets innovants.
Forte d’une première expérience de quatorze années au sein de CMS Francis Lefebvre, Stéphanie Némarq-Attias participe en 2022 à la création du département fiscalité de d&a partners, spécialisé dans la blockchain et les fintechs.
La fiscalité au service de l’innovation
Passionnée par les sujets Web3, cette fiscaliste formée à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, à l’Edhec et à l’université du Missouri déploie ses compétences fiscales lors d’opérations complexes dans les domaines de la tech et du numérique : ICO, NFT, DeFi, DAO, tokenisation d’actifs, projets gaming blockchain. L'une de ses spécialités ? La fiscalité des actifs numériques. « En 2019, la loi Pacte introduit la notion d’actifs numériques avec en première ligne la question de leur fiscalité. J’ai beaucoup travaillé sur ces sujets jusqu’à ce que cela devienne une part importante de mon activité »,commente l’avocate.
Ses autres compétences ? La définition de stratégies fiscales au service de projets innovants, le contentieux fiscal et l’ingénierie patrimoniale. Stéphanie Némarq-Attias déploie par ailleurs ses connaissances auprès des pouvoirs publics, menant des actions de lobbying pour soutenir l’innovation et contribuer à l’évolution des règles fiscales qui l’encadrent. « Sécuriser une opération implique de faire le lien entre les textes fiscaux et l’univers des nouvelles technologies, un rôle de passerelle que j’endosse régulièrement pour mes clients », explique-t-elle.
Pourquoi QOMIT ? C'est une référence au terme anglo-saxon « commitment », qui signifie « engagement ». ». « Engagement auprès de mes clients, en conseil comme en défense ; engagement auprès des décideurs publics pour faire évoluer la loi ; et aussi volonté de promouvoir la place des femmes dans l’écosystème crypto, encore très masculin. » Et preuve s’il en fallait : elle est membre active de l’association Women in Crypto (AWIC France).
Comptant déjà un solide réseau d’experts présents en France et à l’étranger, QOMIT a vocation à « s’étendre à d’autres professionnels capables de compléter son expertise fiscale ». Pour autant, pas question de brûler des étapes. La fondatrice recherche des profils avant tout « passionnés par l’innovation » et animés des mêmes valeurs qu'elle.
